Gestion des émotions
Stress, anxiété, phobies, traumatismes, deuil, relation aux autres, transition de vie, hypersensibilité, burnout / surmenage, dépression, estime de soi.
Pourquoi consulter pour vous ou votre enfant ?
Pourquoi apprendre à reconnaitre et à gérer ses émotions ?
Pour reprendre la définition de la santé de l’OMS, nous aspirons tous en tant qu’être humain malade ou en santé à vivre en harmonie avec soi-même et son environnement.
Pourtant, des barrières émotionnelles et mentales nous empêchent de mener notre vie telle que nous aimerions la vivre. Il peut s'agir de la colère, la frustration, les peurs, la culpabilité et bien d’autres émotions, pensées récurrentes et auto-critiques.
Bien souvent, pris dans le flot de la vie et du quotidien, nous n’avons même pas conscience de ces émotions et encore moins de leur impact sur notre corps et sur notre relation à l’autre.
La kinésiologie et les thérapies psychocorporelles permettent de conscientiser puis de déprogrammer avec douceur les mémoires enfouies qui provoquent certaines de ces émotions de manière inconsciente.
Au-delà, de ces techniques de libérations indispensables, il faut ensuite apprendre à mettre en place des routines de prise de conscience de ces émotions et des techniques telles que la méditation afin de nous aider à pérenniser le changement en nous aidant à sortir de nos ruminations mentales.
Ainsi nous prenons conscience de manière autonome de leur impact sur notre vie, notre estime de soi, notre relation aux autres et nos décisions.
Pourquoi ne faut-il pas laisser s’installer le stress chronique ?
Le stress c’est l’ensemble des réactions de l’organisme à ce qui a été perçu comme une agression.
Il comprend un ensemble de réactions physiologiques (sueurs, accélération du cœur et de la respiration) et psychologiques (inquiétude, trouble du sommeil) qui se manifestent lorsqu’une personne est soumise à un changement de situation.
Cette adaptation de l’organisme est sous le contrôle de systèmes qui assurent l’homéostasie, c’est-à-dire l’équilibre de tout un ensemble de systèmes : nerveux, endocrinien (hormones) et immunitaire.
Selon le médecin Canadien, Hans SELYE, le syndrome d’adaptation se développe en 3 phases :
Phase 1La réaction d’alarme
Ce sont les premières réactions à l’agression, soit une adaptation d’urgence à court terme.
Du côté hormonal, il y aura stimulation de l’hypothalamus qui lui-même va stimuler les glandes surrénales et libérer de l’adrénaline et de la noradrénaline qui prépare le corps à la lutte, la fuite ou l’inhibition.Phase 2Le stade de résistance
C’est l’ensemble des réactions non spécifiques provoquées par un agent stressant de longue durée. La phase d’alarme est très couteuse en énergie et nécessite une compensation de la personne. Les glandes surrénales stimulées libèrent du cortisol qui monte au cerveau.
Véritable booster métabolique, il permet l’adaptation "à long terme" par la rétention des composants vitaux tels que le sodium et le calcium et augmente également le taux de cholestérol. Dès que le stress disparait, le système de rétrocontrôle cérébral ramène l’hormone à son niveau initial.Phase 3La stade d'épuisement
Les effets psychologiques apparaissent, la perception de l’environnement est modifiée. Le taux de cortisol reste élevé engendrant : tachycardie, insomnie, sueur, angoisse, trouble de l’appétit et de la mémoire et les réserves s’épuisent, l’organisme en surrégime se fatigue.
L’organisme rentre dans un état d’hypervigilance et d’hyper réponse associée. Dans un 1er temps, le cortisol associé avec l’adrénaline a eu un effet positif en stimulant les cellules immunitaires vers les organes où elles étaient nécessaires.
Mais si le stress perdure, le cortisol n’arrive plus à réguler les réactions immunitaires qui s’emballent alors que parallèlement l’immunité innée se réduit.
Le rôle du kinésiologue est donc d’éviter la phase d’épuisement en faisant chuter les charges émotionnelles négatives.
En effet, la kinésiologie et les techniques de thérapies brèves que je propose permettent de modifier les perceptions liées à des expériences douloureuses, en établissant de nouveaux schémas neuronaux.
L’objectif est de reprendre notre liberté de choix et de ne plus laisser des croyances limitantes, des mémoires enfouies et souvent inconscientes, nous influencer à notre insu et ainsi nous permettre de sortir du stress chronique.
Comment les thérapies brèves peuvent aider à dépasser des traumatismes et des phobies ?
Pour comprendre la dimension psycho-émotionnelle de la kinésiologie et des autres techniques telles que l’EFT ou TIPI utilisées pour libérer de traumatismes et phobies, il faut envisager le cerveau dans sa composante antéro-postérieure.
Le cerveau postérieur comprend différentes aires : visuelle primaire, somesthésique, auditive… Au centre se trouve notamment le couple amygdale et hippocampe (système limbique) qui analyse et stocke dans sa mémoire à long terme toutes les informations captées par nos sens, visuels, auditifs, somesthésiques, etc.
Plus précisément, l’amygdale est impliquée dans la reconnaissance et l'évaluation de la valence émotionnelle des stimuli sensoriels et dans les réponses comportementales et végétatives.
Elle fonctionne comme un système d'alerte en rassemblant les informations sensorielles associées à des émotions puis choisit la meilleure façon de réagir sur la base des anciens schémas de survie.
Cette information globale est transmise au cortex cérébral qui en fait une interprétation suivant les expériences plus précises mémorisées et prend la décision de l’attitude à adopter.
Les sensations et les émotions sont enregistrées à l’état brut dans le système limbique avec une connotation "agréable/sécurisante/bonne" ou "désagréable/insécurité/mauvaise".
Leur mémorisation est reliée à des situations types associées à des stimuli sensoriels ne correspondant pas à des évènements conscients. C’est pourquoi, il suffit de percevoir une sensation pour que l’émotion associée soit réactivée.
Ces réactions automatiques seront plus ou moins adaptées, selon que la situation est vraiment comparable ou non avec un vécu antérieur.
Un des objectifs de la kinésiologie est de dissocier la charge émotionnelle négative associée aux événements en éliminant la réduction de nos capacités de perception et de choix situé dans la partie antérieure de notre cerveau.
Pour libérer ces émotions et recréer les connexions neuronales permettant de faire appel au cerveau antérieur, nous utilisons différents outils comme la défusion oculaire (EMDR), la visualisation, les mouvements corporels, la verbalisation du stress et l’EFT…
Gestion des émotions
Stress, anxiété, phobies, traumatismes, deuil, relation aux autres, transition de vie, hypersensibilité, burnout / surmenage, dépression, estime de soi.
Pourquoi consulter pour vous ou votre enfant ?
Pourquoi apprendre à reconnaitre et à gérer ses émotions ?
Pour reprendre la définition de la santé de l’OMS, nous aspirons tous en tant qu’être humain malade ou en santé à vivre en harmonie avec soi-même et son environnement.
Pourtant, des barrières émotionnelles et mentales nous empêchent de mener notre vie telle que nous aimerions la vivre. Il peut s'agir de la colère, la frustration, les peurs, la culpabilité et bien d’autres émotions, pensées récurrentes et auto-critiques.
Bien souvent, pris dans le flot de la vie et du quotidien, nous n’avons même pas conscience de ces émotions et encore moins de leur impact sur notre corps et sur notre relation à l’autre.
La kinésiologie et les thérapies psychocorporelles permettent de conscientiser puis de déprogrammer avec douceur les mémoires enfouies qui provoquent certaines de ces émotions de manière inconsciente.
Au-delà, de ces techniques de libérations indispensables, il faut ensuite apprendre à mettre en place des routines de prise de conscience de ces émotions et des techniques telles que la méditation afin de nous aider à pérenniser le changement en nous aidant à sortir de nos ruminations mentales.
Ainsi nous prenons conscience de manière autonome de leur impact sur notre vie, notre estime de soi, notre relation aux autres et nos décisions.
Pourquoi ne faut-il pas laisser s’installer le stress chronique ?
Le stress c’est l’ensemble des réactions de l’organisme à ce qui a été perçu comme une agression.
Il comprend un ensemble de réactions physiologiques (sueurs, accélération du cœur et de la respiration) et psychologiques (inquiétude, trouble du sommeil) qui se manifestent lorsqu’une personne est soumise à un changement de situation.
Cette adaptation de l’organisme est sous le contrôle de systèmes qui assurent l’homéostasie, c’est-à-dire l’équilibre de tout un ensemble de systèmes : nerveux, endocrinien (hormones) et immunitaire.
Selon le médecin Canadien, Hans SELYE, le syndrome d’adaptation se développe en 3 phases :
Phase 1La réaction d’alarme
Ce sont les premières réactions à l’agression, soit une adaptation d’urgence à court terme.
Du côté hormonal, il y aura stimulation de l’hypothalamus qui lui-même va stimuler les glandes surrénales et libérer de l’adrénaline et de la noradrénaline qui prépare le corps à la lutte, la fuite ou l’inhibition.Phase 2Le stade de résistance
C’est l’ensemble des réactions non spécifiques provoquées par un agent stressant de longue durée. La phase d’alarme est très couteuse en énergie et nécessite une compensation de la personne. Les glandes surrénales stimulées libèrent du cortisol qui monte au cerveau.
Véritable booster métabolique, il permet l’adaptation "à long terme" par la rétention des composants vitaux tels que le sodium et le calcium et augmente également le taux de cholestérol. Dès que le stress disparait, le système de rétrocontrôle cérébral ramène l’hormone à son niveau initial.Phase 3La stade d'épuisement
Les effets psychologiques apparaissent, la perception de l’environnement est modifiée. Le taux de cortisol reste élevé engendrant : tachycardie, insomnie, sueur, angoisse, trouble de l’appétit et de la mémoire et les réserves s’épuisent, l’organisme en surrégime se fatigue.
L’organisme rentre dans un état d’hypervigilance et d’hyper réponse associée. Dans un 1er temps, le cortisol associé avec l’adrénaline a eu un effet positif en stimulant les cellules immunitaires vers les organes où elles étaient nécessaires.
Mais si le stress perdure, le cortisol n’arrive plus à réguler les réactions immunitaires qui s’emballent alors que parallèlement l’immunité innée se réduit.
Le rôle du kinésiologue est donc d’éviter la phase d’épuisement en faisant chuter les charges émotionnelles négatives.
En effet, la kinésiologie et les techniques de thérapies brèves que je propose permettent de modifier les perceptions liées à des expériences douloureuses, en établissant de nouveaux schémas neuronaux.
L’objectif est de reprendre notre liberté de choix et de ne plus laisser des croyances limitantes, des mémoires enfouies et souvent inconscientes, nous influencer à notre insu et ainsi nous permettre de sortir du stress chronique.
Comment les thérapies brèves peuvent aider à dépasser des traumatismes et des phobies ?
Pour comprendre la dimension psycho-émotionnelle de la kinésiologie et des autres techniques telles que l’EFT ou TIPI utilisées pour libérer de traumatismes et phobies, il faut envisager le cerveau dans sa composante antéro-postérieure.
Le cerveau postérieur comprend différentes aires : visuelle primaire, somesthésique, auditive… Au centre se trouve notamment le couple amygdale et hippocampe (système limbique) qui analyse et stocke dans sa mémoire à long terme toutes les informations captées par nos sens, visuels, auditifs, somesthésiques, etc.
Plus précisément, l’amygdale est impliquée dans la reconnaissance et l'évaluation de la valence émotionnelle des stimuli sensoriels et dans les réponses comportementales et végétatives.
Elle fonctionne comme un système d'alerte en rassemblant les informations sensorielles associées à des émotions puis choisit la meilleure façon de réagir sur la base des anciens schémas de survie.
Cette information globale est transmise au cortex cérébral qui en fait une interprétation suivant les expériences plus précises mémorisées et prend la décision de l’attitude à adopter.
Les sensations et les émotions sont enregistrées à l’état brut dans le système limbique avec une connotation "agréable/sécurisante/bonne" ou "désagréable/insécurité/mauvaise".
Leur mémorisation est reliée à des situations types associées à des stimuli sensoriels ne correspondant pas à des évènements conscients. C’est pourquoi, il suffit de percevoir une sensation pour que l’émotion associée soit réactivée.
Ces réactions automatiques seront plus ou moins adaptées, selon que la situation est vraiment comparable ou non avec un vécu antérieur.
Un des objectifs de la kinésiologie est de dissocier la charge émotionnelle négative associée aux événements en éliminant la réduction de nos capacités de perception et de choix situé dans la partie antérieure de notre cerveau.
Pour libérer ces émotions et recréer les connexions neuronales permettant de faire appel au cerveau antérieur, nous utilisons différents outils comme la défusion oculaire (EMDR), la visualisation, les mouvements corporels, la verbalisation du stress et l’EFT…